INFORMATION
Cette information, n’a pas l’intention d’être politiquement correct.
Depuis plus de 15 ans, nous sommes en progression constante.
Notre modèle de gestion est toujours plébiscité par 100 % de nos copropriétés, de nos prestataires
et de nos assurances.
De 2022 à 2023, nous avons eu trente demandes de gestion de Copropriété par trimestre.
Un raz de marée.
Devant l’afflux des demandes, nous avons été dans l’obligation de nous agrandir.
En 2024, les demandes ont baissé mais restent conséquentes : Dix demandes par trimestre.
Le succès de notre cabinet n’est plus à démontrer, mais il nous oblige.
Il nous oblige, à faire preuve de beaucoup plus de discernement vis-à-vis de l’attente des copropriétaires
et du modèle de gestion qu’ils souhaitent et qui doit être, bien entendu, en adéquation avec le nôtre.
Les Lois régissant la gestion d’immeuble étant devenue affaires ultra spécialisées, et étant compréhensibles essentiellement par les institutionnels de l’immobilier et les métiers s’y rattachant (avocats, notaires et experts-comptables, en particulier) n’encourage pas le béotien à s’y aventurer.
Et nous voyons s’agrandir dans la société (c’est l’effet internet) l’aéropage des pseudo-comptables,
des pseudo-sachants, des apprentis techniciens de toutes sortes, des donneurs de leçons, quand ce n’est pas
de morale, bref, des personnes bien intentionnées, au demeurant, qui se sentent investies d’une mission autoproclamée : Protéger les intérêts de leurs copropriétés quitte à nous dicter notre métier…
Plusieurs défauts dans leurs démarches :
-1ère : Ces copropriétaires ont la fâcheuse tendance de se voir comme ils s’imaginent et non pas comme ils sont.
-2ème : Ils trainent avec eux, pour justifier leurs implications, des tas de préjugés voire de certitudes
qui n’ont pas ou plus raison d’être.
-3ème : Ils ont, en très grande majorité, une méconnaissance totale de notre métier et ignorent l’ensemble des
règles juridiques, fiscales, sociales et comptables qui gouvernent la gestion de leurs immeubles.
Bref, ils nous font perdre un temps précieux, voire plus grave, ils entravent notre gestion.
Face à cela, mais aussi parce que la qualité de nos collaborateurs et intervenants n’est plus à démontrer,
le Cabinet Abado, dans le souci de préserver ses services, a décidé que ce genre de personnes
ou de copropriétés les accueillant n’ont pas leurs places au sein de notre portefeuille.
Nous savons que cette décision est unilatérale et nous l’assumons.
Comme nos écrits qui vous semblerons manquer singulièrement de mesure.
Malheureusement et nous le déplorons, Il n’en est rien.
Un syndic est uniquement comptable de ses actes, et ne peut souffrir de procès d’intention.
En toutes choses, il faut la juste mesure.
Accepter d’avoir votre place parmi nous, c’est accepter de travailler avec notre méthode et surtout en confiance.
Il ne saurait en être autrement.
Beaucoup de copropriétés font appel à nos services, alors qu’elles sont dans un état déplorable.
Trop de laxisme, trop d’absence, de dossiers en attente, peu de trésorerie, des impayés, des incivilités,
bref, ce n’est pas d’un syndic qu’elles ont besoin, mais d’une bouée de secours !
Abado Immobilier sait gérer, mais ne vous vendra pas du rêve. Si nous acceptons de vous prendre,
c’est que nous savons que nous pourrons redresser votre situation.
Encore faut-il que vous vous en donniez les moyens et le temps.
Si les membres de votre copropriété ne sont pas prêts à se « lâcher des deux mains », en nous faisant confiance, ne serait-ce que sur notre réputation, ce n’est pas grave, vous n’êtes tout simplement pas prêts à nous rejoindre.
Pour les autres, faites-vous connaitre car les créneaux de temps accordés par notre équipe ne sont pas extensibles à l’infini….
De plus, les nouvelles obligations des Lois ALUR; ELAN ; CLIMAT & RÉSILIENCE et 3DS viennent conforter notre parti-pris.
Bien sûr, que les Conseils Syndicaux ont droit de regards sur la gestion des syndics mais cela s’arrête là.
On ne peut pas accepter, de par la Loi, d’être l’unique responsable administratif et juridique d’une copropriété et en même temps accepter de déléguer sans contrôle, tout ou partie de nos responsabilités à des personnes étrangères au Cabinet. Fussent-ils copropriétaires et/ou membres d’un conseil syndical.
Nous pensons que le syndic ne doit pas être perçu comme un mal nécessaire mais comme un bien salutaire.
Il doit surtout être perçu comme le Sachant, celui qui fédère autour de lui.
C’est ce que le Cabinet Abado exigera de vous.
Il y a un proverbe dans ce métier : On a le syndic que l’on mérite.
Par les temps qui courent, ce n’est pas plus mal…